copyright

Comment peut-on oublier que toute guerre se finit toujours par un traité de paix et une réconciliation, et qu’il serait tellement plus efficace de passer directement à la case « résolution des problèmes »


Derrière les conflits internes à une nation ou entre nations, il est rare qu’il n’y ait pas une quelconque influence d’un ou de plusieurs grandes puissances.


"De tous, les ennemis de la liberté publique est la guerre, peut-être, le plus qui est à craindre, car il comprend et développe le germe de tous les autres La guerre est la mère des armées;. De ces dettes et des impôts ... procédé connu, instrument pour amener  un grand nombre sous la domination de quelques-uns ... Aucune nation ne pourrait préserver sa liberté dans le milieu de la guerre continuelle. " - James Madison, Observations politiques , 1795



1/ Comment éviter les guerres ?

 

La paix ne consiste pas seulement en l'absence de guerre, mais en l'existence de conditions de vie justes. Le meilleur moyen d'obtenir la paix est d'éliminer les injustices et les inégalités excessives d'ordre économique ou sociale, qui sont les causes premières de la guerre.


Affaires et intérets financiers ont toujours été au coeur des décisions concernant la guerre et la paix


2/ A qui profitent les guerres ?


Affaires et intérets financiers ont toujours été au coeur des décisions concernant la guerre et la paix .........


"Voici pourquoi se font les guerres : pour créer des dettes qui sont payées dans une monnaie haussée. La guerre est le suprême sabotage ; c’en est la forme la plus atroce. Pour dissimuler l’abondance existante ou virtuelle, les usuriers suscitent les guerres, et ce, pour créer la disette. Car il est plus difficile d’obtenir le monopole de matières qui abondent que de celles qui sont rares. Les usuriers déclenchent des guerres pour établir des monopoles à leur avantage, et pour ensuite étrangler le monde. Les usuriers provoquent des guerres pour créer des dettes dont ils jouissent des intérêts, ainsi que des profits résultant des fluctuations de la valeur de l’unité monétaire" (Ezra Pound, Le Travail et l’Usure, Éditions L’Âge d’Homme, Lausanne, 1968).




















Retour en haut