" Il faut défendre ce qui est juste dans
la vie, si vous ne le faites pas vous n'êtes rien" Aaron RUSSO
De
plus en plus de voix
s’élèvent pour montrer la pathologie, la sénilité du système et
élaborer d’autres modes de fonctionnement. Partout, on s’interroge, on
imagine, on met en place des solutions qui remplaceront le système en
place. Partout on rêve d’un monde meilleur.
Un jour ou l’autre,
collectivement, on se posera forcément des bonnes questions :
Le « libéralisme » est-il une
bonne chose ?
Est-on vraiment obligé de le
subir ?
La mondialisation « sauvage »
est-elle inévitable ?
L’homme mérite-t-il ou doit-il
continuer de vivre dans un tel chaos ?
Y a-t-il d’autres solutions ?
Et, quand un certain nombre de
personnes se réveillera de ce cauchemar, quand l’humanité aura pris
conscience qu’elle est Une, faisant partie d’un tout, le ciel
s’éclaircira et des dizaines de solutions positives apparaîtront, comme
libéré d’un enchantement maléfique. Alors, le changement se fera, de
gré ou de force, à court ou moyen terme, dans la douleur ou dans la
douceur, mais il est inévitable.
La décomposition de notre mode
de fonctionnement est trop engagée. Nous passerons forcément du
paradigme de l’égoïsme absolu à celui du Solidarisme et du respect de
la Vie. C’est dans la logique de l’évolution de la conscience, du
développement de la pensée et de la compassion.
En réalité, une chose et une
seule peut éventuellement reculer la venue de ce changement : la
non-volonté politique liée à des pouvoirs occultes, détenus par
quelques individus sur six milliards, ceux qui entendent garder
pouvoirs et privilèges.
La « Bête » acculée à sa fin
prochaine se défend comme un dragon maléfique, becs et ongles, redouble
d’effort pour nous emprisonner dans un comportement
commun. Elle fait déployer un fascisme d’État de plus en plus
manifeste. Elle tente de paralyser tous les mouvements revendicatifs en
faisant passer pour des criminels de droits communs les militants
syndicaux, politiques ou même
associatifs qui se battent pour le respect des droits fondamentaux.
Le terrorisme, peut-être
encouragé en sousmain, lui offre des opportunités merveilleuses pour
établir des Etats de plus en plus policiers. Une course de vitesse est
engagée.
Tandis que les solutions
alternatives s’élaborent, les agents de la sécurité intérieure et les
services de surveillance peaufinent leur technique et répandent leurs
caméras, leurs surveillants de lanceurs d’alertes, leur projet de «
puçage » de l’être humain et instaurent des fichiers pour augmenter
l’asservissement collectif.
Mais ce temps ne durera pas.
Comme toute chose est impermanence, changement, évolution, le système
mutera ou disparaîtra. Car techniquement, rien ne s’y oppose
SOURCE livre BIOECONOMIE ET SOLIDARISME
1/ Le film "la ferme des animaux"de Georges Orwell
La ferme des animaux est un apologue écrit par George Orwell inspiré de l'histoire de l'URSS.
La Ferme des Animaux (George Orwell) 1/2
La Ferme des Animaux (George Orwell 2/2