"L'écrivain et le journaliste se croient et se disent libres. Ils ne le sont pas. La liberté d'expression de leur pensée est limité par la volonté des dirigeants du journal ou de la revue ou de la maison d'édition. Et ses dirigeants sont, soit des membres de la féodalité financière, soit ses employés." A. Hamon : Les Maîtres de la France.
France : les médias en servitude
"En principe la France est une
démocratie.
Le suffrage y est libre.
Le suffrage, sans doute, mais
en est-il de même de l’information des électeurs?
Assurément non ! Les médias asservissent et ils sont eux-mêmes asservis
aux grandes puissances financières.
Notre société est de plus en
plus exigeante en matière de transparence. Cette transparence doit
aussi s’appliquer aux médias : leurs auditeurs et leurs lecteurs, qui
sont aussi des électeurs, doivent savoir d’où ils parlent pour
connaître les arrière-plans financiers, commerciaux, idéologiques ou
communautaires qui structurent leurs prises de position et qui
expliquent la disparition de tout véritable esprit critique.
Ecartant toute polémique inutile, Polémia se borne à rassembler des faits. Des faits qui éclairent d’une lumière vive la médiaklatura."
eBook gratuit Polémia - Les Médias en
servitude
Qui possède les médias en
France ? "la médiaklatura"
Les médias font partie de
l'oligarchie
L'accès à la propriété des
médias de masse est maintenant réservé à des groupes financiers très
puissants.
Voici quels sont les acteurs
majeurs de cette prise de pouvoir sur les esprits :
– les banques : cinq d’entre
elles siègent au conseil d’administration de Bouygues, propriétaire de
TF1 ; Rothschild contrôle Libération ; Lazard siège au Monde ; et le
Crédit Agricole et le Crédit Mutuel se partagent la Presse quotidienne
régionale (la PQR) à l’est d’une ligne Amiens/Marseille ;
– l’industrie du luxe et les
grandes fortunes : Bernard Arnault, Serge Dassault, François
Pinault,
Martin Bouygues, Vincent Bolloré, Arnaud Lagardère, Claude Bébéar sont
omniprésents;
– les grandes agences de
communication et de publicité : Euro RSCG de Stéphane Fouks et
Publicis
de Maurice Lévy sont au cœur des stratégies d’influence adossées à de
puissants budgets ;
– les paladins de «
l’antiracisme » : Louis Schweitzer (la Halde), Pierre Bergé
(SOS-Racisme), Bernard-Henri Lévy donnent le ton ;
– les grands éditocrates :
Erik Israelewicz, Laurent Joffrin, Nicolas Demorand, Denis Olivennes
ont un rôle clé, celui d’assurer la cohérence entre les bailleurs de
fonds et les soutiers de l’information.
En tout une centaine d’hommes dirige la machinerie qui règne sur les esprits. Il n’y a pas de chef d’orchestre clandestin. Mais tous ou presque participent au lieu de pouvoir le plus sélect de la classe dirigeante française : le Club Le Siècle. Cette classe dirigeante française n’a plus aujourd’hui ni vision nationale ni conscience européenne et n’est plus que la section française de la Superclasse mondiale (SCM).
Liste détaillée des Médiaklateurs page 13